Thursday, October 15, 2015

Les français en vacances d'été




Les français en vacances - Compréhension

“D'après une étude, les Français seront plus nombreux à partir en vacances d'été en 2015. Mais ils partiront moins longtemps et moins loin.”

Coche les réponses vraies:
X Le début de la vidéo parle d’une personne qui loue un appartement pour les vacances.
Cette personne a augmenter le prix de la location car il n’y a pas de concurrence.
X Les vacanciers français privilégient les cours séjours et l’hébergement gratuit.
Pour leur vacances, les français préfèrent partir à l’étranger.
X En 2015, la Bretagne pourrait devenir une des destination phare de l’été.

Relie chaque élément:
-4,8% Taux de français qui partent en vacances
1979 euros Taux de baisse du budget vacances des français en 2015
63% Budget vacances des français en 2015

Entoure les trois régions qui sont les destinations préférées des français pour les vacances d’été:
(Provence Alpes Côte d'Azur, Languedoc-Roussillon, Aquitaine, Bretagne)

Petit test

QUELLE PÂTISSERIE ES-TU?



QUESTION N°1 SUR 10
Tous les matins ton petit-déjeuner est composé de...
  • Deux tranches de brioche grassement tartinées de Nutella, un grand verre de jus d'orange et un petit café bien serré pour démarrer la journée avec les yeux grands ouverts
  • Une petite salade de fruits, un chocolat chaud et une tranche de pain perdu
  • Grosse charcuterie, oeufs au plat, bol de café et si un pain de campagne passe par là, il n'en sortira pas indemne

QUESTION N°2 SUR 10
Un petit creux à 10h30 ou juste envie de boulotter une cochonnerie, tu jettes ton dévolu sur...
  • Un bonbon Arlequin : c'est plein de couleurs, c'est mignon et puis ça dure 1000 ans avant qu'il fonde entièrement
  • Un marshmallow : tu en avales un, puis deux, puis trois... puis le paquet entier !
  • Une bouteille de Coca-Cola : au début ça pique, tu t'en veux, et puis finalement non, ça se laisse boire tout seul

QUESTION N°3 SUR 10
La pause déjeuner du midi se fait en catastrophe, tu sautes sur le premier Mc Do que tu croises et tu y avales...
  • Un Best-of nuggets, potatoes et Ice tea
  • Un maxi Best-of Big Mac, frites, Coca, sunday chocolat
  • Une salade au poulet croustillant, une bouteille d'Evian et des fruits à croquer

QUESTION N°4 SUR 10
C'est décidé, cette pause goûter sera saine ou ne sera pas. Dans la corbeille de fruits tu choisis...
  • Une banane bien mûre, avec ça pas moyen d'avoir faim avant 20h
  • Une pomme, la valeur sûre de la pause goûter
  • Deux litchis, c'est frais, c'est sucré et tu as l'impression de voyager


QUESTION N°5 SUR 10
Bon finalement, ce goûter ne sera pas complètement sain puisqu'une violente envie de chocolat te saisit. Tu optes pour...

  • 4 carrés de chocolat blanc parfumé à la vanille
  • 1 carré de chocolat noir 70% avec des zestes d'orange
  • 2 carrés de chocolat au lait noisettes

QUESTION N°6 SUR 10
Rentrée chez toi, il te faut une boisson chaude en guise réconfort, tu te prépares…

  • Une tasse de thé de Noël
  • Une tasse de café avec, tant qu'à faire, deux ou trois petits biscuits
  • Un bol de chocolat chaud + pincée de cannelle + 5 marshmallows

QUESTION N°7 SUR 10
19h, déjà l'heure de l'apéro. Au bar tu commandes...
  • Un Ferry Boat : crème fraîche, whisky, liqueur de cacao, triple sec
  • Un Kir Royal : champagne et crème de framboise
  • Un Cosmopolitan : vodka, triple sec, citron et jus de cranberry

QUESTION N°8 SUR 10
Après cette petite mise en bouche alcoolisée, on te propose un restaurant : tu serais plutôt du genre à choisir…

  • Une brasserie familiale : un bon pavé de boeuf et un gratin dauphinois, il n'y a rien de mieux !
  • Une bonne baraque à frites : la frites-fricadelle-mayo est ton vice caché
  • Un restaurant gastronomique ; pourvu qu'ils aient du homard...

QUESTION N°9 SUR 10
Finalement, la soirée resto est annulée et tu te retrouves seule devant ton frigo presque vide. Tu optes pour...

  • Une plâtrée impressionnante de pâtes au beurre avec un demi-paquet de gruyère, et tu envisages sérieusement la boite de thon au naturel abandonnée dans le placard
  • Une farandole de fromages (même s'il ne reste que les croûtes) sur lit de salade (en sachet) et sa vinaigrette aux herbes de Provence déshydratées
  • Un bon bol de soupe potiron-châtaigne

QUESTION N°10 SUR 10
Pour te consoler, tu décides de te préparer une petit coupe de glace !

  • Juste de la glace à la fraise
  • Mangue et coulis de framboise
  • Chocolat-vanille-café, chantilly, pépites de chocolat et coulis de caramel

Un Menu typiquement français

Les français adorent manger, et le dimanche et les jours de fête ils passent souvent l'après-midi entier à table. Entre l'apéritif, l'entrée, le plat principal, le fromage, le dessert, le digestif et le café, on prend son temps.



Les fruits et les aliments

LES FRUITS
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LES LÉGUMES
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LES LÉTAGES
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LES FRUITS DE MER


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pouletdes oranges / une orange
des tomates /une tomate des poivrons / un poivron du chocolatdes oeufs / un oeuf




de la farine   du magret de canard
des courgettes   du sucre
du porc une pomme
des pommes de terre du beurre   
de l’huile d’olive du riz
des fines herbes du rosbif






des/ un pamplemousse(s)






du jus de pamplemousse  

Le Horla, de Guy de Maupassant


Le Horla est une nouvelle très connue de Guy de Maupassant. Écrite en 1887, elle probablement inspirée des délires syphilitiques que Guy de Maupassant à subit sous l'effet de cette maladie. Guy de Maupassant a d'ailleurs passé la fin de sa vie dans un asile de fou. Cette nouvelle a fait l'objet de nombreuses adaptations que nous avons étudiez dans cette séance.

Vers dix heures, je monte dans ma chambre. À peine entré, je donne deux tours de clef, et je pousse les verrous ; j’ai peur... de quoi ?... Je ne redoutais rien jusqu’ici... j’ouvre mes armoires, je regarde sous mon lit ; j’écoute... j’écoute... quoi ?... Est-ce étrange qu’un simple malaise, un trouble de la circulation peut-être, l’irritation d’un filet nerveux, un peu de congestion, une toute petite perturbation dans le fonctionnement si imparfait et si délicat de notre machine vivante, puisse faire un mélancolique du plus joyeux des hommes, et un poltron du plus brave ? Puis, je me couche, et j’attends le sommeil comme on attendrait le bourreau. Je l’attends avec l’épouvante de sa venue, et mon cœur bat, et mes jambes frémissent ; et tout mon corps tressaille dans la chaleur des draps, jusqu’au moment où je tombe tout à coup dans le repos, comme on tomberait pour s’y noyer, dans un gouffre d’eau stagnante. Je ne le sens pas venir, comme autrefois, ce sommeil perfide, caché près de moi, qui me guette, qui va me saisir par la tête, me fermer les yeux, m’anéantir. Je dors – longtemps – deux ou trois heures – puis un rêve – non – un cauchemar m’étreint. Je sens bien que je suis couché et que je dors... je le sens et je le sais... et je sens aussi que quelqu’un s’approche de moi, me regarde, me palpe, monte sur mon lit, s’agenouille sur ma poitrine, me prend le cou entre Le Horla ses mains et serre... serre... de toute sa force pour m’étrangler. Moi, je me débats, lié par cette impuissance atroce, qui nous paralyse dans les songes ; je veux crier, – je ne peux pas ; – je veux remuer, – je ne peux pas ; – j’essaie, avec des efforts affreux, en haletant, de me tourner, de rejeter cet être qui m’écrase et qui m’étouffe, – je ne peux pas ! Et soudain, je m’éveille, affolé, couvert de sueur. J’allume une bougie. Je suis seul.
(...)
Je hâtai le pas, inquiet d’être seul dans ce bois, apeuré sans raison, stupidement, par la profonde solitude. Tout à coup, il me sembla que j’étais suivi, qu’on marchait sur mes talons, tout près, à me toucher. Je me retournai brusquement. J’étais seul. Je ne vis derrière moi que la droite et large allée vide, haute, redoutablement vide ; et de l’autre côté elle s’étendait aussi à perte de vue, toute pareille, effrayante. Je fermai les yeux. Pourquoi ? Et je me mis à tourner sur un talon, très vite, comme une toupie. Je faillis tomber ; je rouvris les yeux ; les arbres dansaient, la terre flottait ; je dus m’asseoir. Puis, ah ! je ne savais plus par où j’étais venu ! Bizarre idée ! Bizarre ! Bizarre Le Horla idée ! Je ne savais plus du tout. Je partis par le côté qui se trouvait à ma droite, et je revins dans l’avenue qui m’avait amené au milieu de la forêt.

L'oeuvre a, par exemple, été adaptée sous forme de BD.


Ou encore sous forme de film et de cours métrage:



Guillaumet (2)

Suite de l'histoire d'Henri Guillaumet et de son crash dans la Cordillère des Andes.


« J'avais déjà failli me faire coincer, nous disais-tu, mais je n'étais pas convaincu encore. On rencontre des courants descendants au-dessus de nuages qui paraissent stables, pour la simple raison qu'à la même altitude ils se recomposent indéfiniment. Tout est si bizarre en haute montagne… » Et quels nuages !… « Aussitôt pris, je lâchai les commandes, me cramponnant au siège pour ne point me laisser projeter au-dehors. Les secousses étaient si dures les courroies me blessaient aux épaules et eussent sauté. Le givrage, de plus, m'avait privé net tout horizon instrumental et je fus roulé comme un chapeau, de six mille à trois mille cinq. « À trois mille cinq j'entrevis une masse noire, horizontale, qui me permit de rétablir l'avion. C'était un étang que je reconnus : la Laguna Diamante. Je la savais logée au fond d'un entonnoir, dont un des flancs, le volcan Maipu, s'élève à six neuf cents mètres. Quoique délivré du nuage, j'étais encore aveuglé par d'épais tourbillons de neige, et ne pouvais lâcher mon lac sans m'écraser contre un des flancs de l'entonnoir. Je tournai donc autour de la lagune, à trente mètres d'altitude, jusqu'à la panne d'essence. Après deux heures de manège, je me posai et capotai. Quand je me dégageai de l'avion, la tempête me renversa. Je me rétablis sur mes pieds, elle me renversa encore. J'en fus réduit à me glisser sous la carlingue et à creuser un abri dans la neige. Je m'enveloppai là de sacs postaux et, quarante-huit heures durant, j'attendis. « Après quoi, le tempête apaisée, je me mis en marche. Je marchai cinq jours et quatre nuits. » Mais que restait-il de toi, Guillaumet ? Nous te retrouvions bien, mais calciné, mais racorni, mais rapetissé comme une vieille ! Le soir même, en avion, je te ramenais à Mendoza où des draps blancs coulaient sur toi comme un baume. Mais ils ne te guérissaient pas. Tu étais encombré de ce corps courbatu, que tu tournais et retournais, sans parvenir à le loger dans le sommeil. Ton corps n'oubliait pas les rochers ni les neiges. Ils te marquaient. J'observais ton visage noir, tuméfié, semblable à un fruit blet qui a reçu des coups. Tu étais très laid, et misérable, ayant perdu l'usage des beaux outils de ton travail : tes mains demeuraient gourdes, et quand, pour respirer, tu t'asseyais sur le bord de ton lit, tes pieds gelés pendaient comme deux poids morts. Tu n'avais même pas terminé ton voyage, tu haletais encore, et, lorsque tu te retournais contre l'oreiller, pour chercher la paix, alors une procession d'images que tu ne pouvais retenir, une procession qui s'impatientait dans les coulisses, aussitôt se mettait en branle sous ton crâne. Et elle défilait. Et tu reprenais vingt fois le combat contre des ennemis qui ressuscitaient de leurs cendres. Je te remplissais de tisanes : « Bois, mon vieux ! » « Ce qui m'a le plus étonné… tu sais… » Boxeur vainqueur, mais marqué des grands coups reçus, tu revivais ton étrange aventure. Et tu t'en délivrais par bribes. Et je t'apercevais, au cours de ton récit nocturne, marchant, sans piolet, sans cordes, sans vivres, escaladant des cols de quatre mille cinq cents mètres, ou progressant le long de parois verticales, saignant des pieds, des genoux et des mains, par quarante degrés de froid. Vidé peu à peu de ton sang, de tes forces, de ta raison, tu avançais avec un entêtement de fourmi, revenant sur tes pas pour contourner l'obstacle, te relevant après chutes, ou remontant celles des pentes qui n'aboutissaient qu'à l'abîme, ne t'accordant enfin aucun repos, car tu ne te serais pas relevé du lit de neige. Et en effet, quand tu glissais, tu devais te redresser vite, afin de n'être point changé en pierre. Le froid te pétrifiait de seconde en seconde, et, pour avoir goûté, après la chute, une minute de repos de trop, tu devais faire jouer, pour te relever, des muscles morts. Tu résistais aux tentations. « Dans la neige, me disais-tu, on perd tout instinct de conservation. Après deux, trois, quatre jours de marche, on ne souhaite plus que le sommeil. Je le souhaitais. Mais je me disais : « Ma femme, si elle croit que je vis, crois que je marche. Les camarades croient que je marche. Ils ont tous confiance en moi. Et je suis un salaud si je ne marche pas. » Et tu marchais, et, de la pointe du canif, tu entamais, chaque jour un peu plus, l'échancrure de tes souliers, pour que tes pieds qui gelaient et gonflaient, y pussent tenir. Tu m’as fait cette étrange confidence : « Dès le second jour, vois-tu, mon plus gros travail fut de m'empêcher de penser. Je souffrais trop, et ma situation était par trop désespérée. Pour avoir le courage de marcher, je ne devais pas la considérer. Malheureusement, je contrôlais mal mon cerveau, il travaillait comme une turbine. Mais je pouvais lui choisir encore ses images. Je l’emballais sur un film, sur un livre. Et le film ou le livre défilait en moi à toute allure. Puis ça me ramenait à ma situation présente. Immanquablement. Alors je le lançais sur d’autres souvenirs… »

Afrique Francophone (2)


Pour continuer sur le thème de l'Afrique francophone, nous avons étudié un reportage tiré de l'émission Le Petit Journal de Canal +.


Voici la fiche de compréhension:

Le petit Journal de Canal+ - Spécial Burkina Faso

Réponds aux questions suivantes:
Dans quelle partie de l’Afrique se trouve le Burkina Faso?
Dans l'Afrique de l'Ouest.

Que s’est-il passé?
Un coup d'état.

Quand est-ce arrivé? (date)
Le 16 septembre 2015.

Qu’est-ce-que le RSP?
Le groupe de putschistes sous les ordres du général Diendéré.

La ville dans laquelle se trouve le journaliste est-elle la capitale du Burkina?
Non, la première ville où se trouve le journaliste s'appelle Koudougou.

Par qui est contrôlée cette ville?
Elle est contrôlée par les manifestants qui sont contre Diendéré.

Que veulent les manifestants?
Que Diendéré qui le pouvoir et même le pays. Et ils veulent aussi un régime démocratique.

Que dit le journaliste d’RFI?
Qu'il ont une grande responsabilité car ils sont la seule source d'information des habitants du pays. Ils doivent vérifier leurs sources.

Quelles sont les recommandations du système d’information des affaires étrangères françaises?
Les ressortissants français doivent rester chez eux ("confinement à domicile total et immédiat")

Quelles sont les dernières nouvelles?
Le chef des pushistes, le général Diendéré, refuse de quitter les pouvoir.

Coche les affirmations justes:

Le Burkina n’a pas beaucoup de contacts avec la France.
X Le général Diendéré est à la tête des pushistes.
X Ouagadougou est la capitale du Burkina.
Il n’y aucune opposition au coup d’état.
X Pour les habitants du Burkina, le seul moyen d’avoir des informations sur la situation est d’écouter RFI (Radio France International).
X L'ambassade américaine évacue les ressortissants américains.
Il y a bien eu des combats à Ouagadougou.
X L’armée loyaliste a lancé un ultimatum aux pushistes qui ont jusqu’à 10h pour déposer les armes.
X Les habitants font des barricades pour soutenir l’armée loyaliste.

Puis, nous avons lu un article de Courrier International et nous l'avons commenté:


Rassemblement sur la place de la Nation à Ouagadougou, quelques heures après que le président et le premier ministre par intérim ont été arrêtés par un régiment d'élite suspect de loyauté envers l'ancien président Blaise Compaoré.